Ce sont les détails qui font les légendes

Klaus ft. @Electra Nietzstra

Nous sommes tous attirés par le fruit pourri qu’est le pouvoir. Fidèle image du péché originel qui sied à la silhouette éternelle de monstres maudits... dont la naissance, par des cris, annonçait cette ère funeste. Ses lèvres seront plus amères que les siennes. Il en était convaincu. Après des mois de silence et des jours de quiétude insoutenable, il avait enfin aperçu le signe qu’il attendait. La galerie d’art ouvrait ses portes et son inauguration se profilait aux teintes d’une agréable et douce confrontation. Les quelques toiles mises en apéritif dans le journal local l’avaient décidé. Il était convaincu que tout lui était destiné et ne pouvait laisser à son esprit le loisir de croire que tout était uniquement motivé par son ennui et ses quelques espérances vaines.

C’est avec une certaine élégance qu’il se faufile au travers des touristes, des faux amateurs d’arts et des aigrefins qui osent prétendent avoir le droit de critiquer une œuvre intime. Il se fait violence pour ne pas rompre ta mise en scène trop vite. Se délectant au passage des quelques artifices que tu avais employés pour rendre tout cela réaliste. Les siècles tarissaient bien trop souvent le goût des bonnes gens. Il était à la fois satisfait et agacé d'avoir trouvé en ta personne, un ennemi digne et intéressant. Il s’arrête lentement devant une toile qui attire d’emblée son attention. Il fronce les sourcils, et bien malgré lui, ses lèvres s’étirent dans un sourire narquois. Il joint nonchalamment ses mains dans son dos et dévisage le tableau avec une attention feinte. Les symboles, la couleur et probablement les quelques messages picturaux et implicites que recèlent l’œuvre n’avaient rien d’hasardeux. Ses sens en alerte, il inspire et hume le parfum fruité et aseptisé de l'inconnue qu'il regarde du coin de l'oeil.

« - C’est une œuvre circonspecte et profonde. » La jolie brune semblait happée par ce qu’elle trouvait de véritablement profond et mystérieux dans la toile. Le sourire de l'hybride s’étire face à la naïveté avec laquelle l’homme tentait de résoudre des mystères qui le dépassent. Il se cambre tout en gardant ses mains dans son dos, pour lui murmurer :

« - Elle n’a rien de profond, si tant est que le message soit explicite et atteigne son destinataire premier. Je dois vous accorder cette magnifique prestation, on pourrait presque croire à une interpellation naturelle. » Son sourire s’étire davantage, un rire s’étouffant à la naissance de sa gorge. Il humecte ses lèvres et se tourne vers elle tout en fronçant les sourcils et siffle tout en la désignant d'un geste leste de l'index :

« - Arrêtons cette mascarade voulez-vous ? J’ai répondu à son invitation, j’espère qu’elle me montrera quelle hospitalité est la sienne en se joignant à ma contemplation. »

Il arbore une moue dubitative et passe sa main de biais sur le côté de ses lèvres pour entrer dans une sphère de confidence, il se penche vers la jeune demoiselle et siffle alors tout en feignant la nonchalance :

« - Ou si elle préfère, je m’arrangerai pour que la décoration du lieu soit en osmose parfaite avec ce qu’elle est réellement. En exposant votre corps sanguinolent en guise d'oeuvre afin que tous les critiques puissent vous vénérer. »

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Klaus ft. @Electra Nietzstra

Il sourit pour répondre au malaise de la brune qui tentait vainement de se dérober à son regard. Envoûtant, particulièrement dangereux, l’être humain était irrémédiablement attiré par l’obscurité et les ténèbres. C’est ce qui le rendait fascinant. Il arque un sourcil et ses céruléennes se déplacent avec voluptés pour se déposer dans les tiennes. Sans se départir de son sourire et de son air faussement badin, il désigne la jeune demoiselle d’un geste bref et leste de l’index en sifflant :

« - J’ai probablement perdu les quelques politesses que la bienséance exige de nos jours. Il faut croire que l’esprit étriqué et juvénile des hommes ne cesse de décroître. »

Il humecte légèrement ses lèvres et attrape alors la coupe que tu lui tendais. Son sourire s’élargit avec une telle aisance qu’on pourrait s’y méprendre. L’hybride passait inaperçu au travers de la foule, épousant avec une facilité déconcertante les quelques coutumes des êtres qu’il jugeait désormais inférieurs. Il porte la coupe à sa bouche, ses lèvres restent momentanément en suspend au-dessus du cristal hors de prix. Un léger rire s’étouffe à la naissance de sa gorge lorsqu’il murmure :

« - Je devrai vous remercier pour l’accueil on ne peut plus chaleureux que vous m’accordez. Délaisser ainsi vos invités et vos critiques pour venir me saluer… » Siffle-t-il du bout des lèvres en fronçant les sourcils tout en désignant l’assemblée de quelques mouvements légers de son index. Il finit par hausser les sourcils en reportant une pleine attention sur la peau diaphane de ton visage.

« - Ou serait-ce encore l’une de vos viles machinations pour attirer désespérément mon attention ? » En terminant sa phrase, l’hybride noya ses prunelles dans le liquide si gracieusement offert. Il arbora alors une moue dubitative tout en jouant avec le liquide sans en prendre une seule goutte, même si son odorat ne pouvait le tromper quant au contenu. Il avait appris avec toi, qu’il ne fallait plus se fier à ses sens. Faites grâce de quelques instants à un ennemi potentiel, et il vous vole une année ainsi que quelques artifices dont vous étiez coutumiers. Un léger sourire en coin se loge à la commissure de ses lèvres pour réponse à ses plus sombres pensées, réprimant ainsi une colère qu’il avait décemment du mal à contrôler depuis que le sang manquait.

Il incline son regard et serre le verre entre ses doigts, tout en se cambrant pour murmurer dans un ton presque sarcastique et amusé : « - Ne me dites pas que je vous ai manqué, je pensais décemment que nous n’entretenions pas ce genre de relation outrageante pour votre milieu. » Son regard s’illumine. Narquois, il semblait étouffer les quelques rancœurs qui vous liaient pour remplacer la réalité par l’illusion, levant le voile sur les secrets dérangeants pour mieux les dissimuler. Chercheuse et vampire. Quelle serait le meilleur opprobre si ce n’est devenir un vampire sous le zèle d’une passion dévorante ? Une tragédie qu’il s’amusait à dépeindre, en ayant conscience qu’il ne pourrait jamais la jouer avec toi sur le théâtre de Downside.

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Klaus ft. @Electra Nietzstra

Il contemplait la beauté furtive de tes traits. L’assurance avec laquelle tu tenais la conversation à ses côtés ne faisait que lui confirmer sa première idée : tout n’était qu’habile manipulation vouée à le piéger. Devait-on enlever la splendeur d’un acte si nous en devinions la sortie avant que ne débute l’intrigue ? Il passe très lentement le bout de sa langue sur sa lèvre supérieure pour l’humecter, donnant l’illusion de se repaître d’une quelconque pensée. Tout en toi respirait la candeur et la vie qu’il ne détenait plus. Ta colère, et l’étincelle de haine qui égayait et aiguisait ton regard n’enlevait en rien la beauté de tes charmes. Ancestraux, à jamais gravés dans sa mémoire et celle de tes ancêtres. Il descend son regard sur ta main qui, poussée par un excès d’arrogance se posait avec trop de zèle sur son épaule.

« - L’humain est fascinant. » Il tourne lentement son regard sur la toile, son verre en main il finit par en serrer le pourtour et inspirer. Son sourire s’étire et reflète progressivement ses viles pensées. Il continue sur sa lancée, dans un brin de voix mesuré et parfaitement conscient de la situation :

« - Votre existence est dénuée de sens. Votre présence en ce monde est totalement futile. » Il incline son regard et se cambre, ses yeux rejoignent furtivement les tiens pour souffler dans une confidence feinte : « - Et c’est justement cette insignifiance qui est magnifique. Vous volez un moment précieux au temps. Vous capturez l'indicible. »

Il dépose son verre sur le plateau de la délicieuse serveuse qui passait avant de se tourner vers toi et de s’avancer de quelques pas. Amoindrissant la distance sécuritaire qui vous gardait en haleine depuis vos premières paroles échangées. Il plonge ses céruléennes dans les tiennes, haussant les sourcils sans se départir de son sourire, soudainement plus précis, plus indéfinissable.

« - Je ne comprendrai jamais pourquoi vous n’utilisez pas cette force pour vous défaire de ces sentiments destructeurs. Nocifs…Cette impétuosité. » Il avance et te fait reculer pour ne pas que vos corps entre en altercation. Arrivé contre un mur il passe la paume de sa main sur ce dernier, aux côtés de ton visage. Son visage frôle le tien, et il se défait de tout air menaçant. Il murmure alors contre tes lèvres :

« - Tu sais pourtant pertinemment, que quelles que soient les supercheries auxquelles tu m’exposes… Je ne peux être tué. Et je me ferai un plaisir de faire de ta vie un véritable enfer, dérobant au temps une simple brise alors que pour toi… il s’agira de toute une vie. »

Il monte très lentement son index le long de ta nuque sans la toucher, ne faisant que la frôler. Ton parfum, étonnement, lui rappelait celui d’une image trouble dont il oubliait jusqu’à l’existence. Les effets de l’aconit et de la verveine commençaient à se faire ressentir. Son sourire mauvais le prouvait. Il incline son regard et murmure : « - L’odorat d’un hybride est bien plus performant que tu ne peux te l’imaginer. Même affaiblit, je reste plus fort que toi. Et je pourrai, avec facilité, démembrer cette assemblée et peindre ton portrait sur le sol à l’aide de leur dépouille inutile. » Il avait de plus en plus de mal à garder son calme, sa main qui était posée sur le mur venait de se fermer en poing. Un feulement sauvage venait de lui échapper.

« - Un chef d'oeuvre à la hauteur de ta faute. »

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Klaus ft. @Electra Nietzstra

« - Rusé est l’homme qui connait d’avance l’issue d’un acte. Plus grand encore est celui qui y assiste en toute conscience. Tes armes seront les miennes… » Il incline son regard, ce dernier semblait scintiller au gré des rayons qui s’attardaient sur les civils, projetant une silhouette gracieuse sur le sol, mimant la danse macabre qui se jouait dans les rouages de cette réalité indicible. Ses lèvres décrochent alors finalement dans un murmure sardonique presque inaudible : « - Petite éphémère. ~ » Ses céruléennes se baissent très lentement, caressant tes traits, redessinant les courbes de ton cou, s’attardant sur les pulsations que ton cœur imposait à tes veines. Il inspire un fin filet d’air et son sourire s’étire davantage. Il laissait à son orgueil les quelques fastes d’une fierté que tu semblais arborer. Ton sourire amplifiait le sien, ton regard attisait le sien. Un jeu hypnotique qu’il se plaisait à amplifier malgré la situation plus qu’alarmante.

Ses réflexes n’étaient plus aussi vifs qu’à l’accoutumée. Il en connaissait la cause. Il se décale légèrement et grogne de douleur en sentant la pointe de la flèche transpercer sa chair et se loger dans son épaule. Il se doutait parfaitement qu’un produit leur avait été confié, pour affaiblir davantage la bête que vous alliez réveiller. Il relève son menton vers le tien, ses iris scintillant… le voile bleu profondément humain laisse place à l’ambre hypnotique de sa seconde nature. Il serre la mâchoire et attrape ta nuque violemment. Son autre main attrape la pointe de la flèche qui l’avait transpercé. Et c’est dans un grognement sourd et un léger gémissement de douleur qu’il tire dessus pour enlever, par devant, l’arme rouillée qui avait été lancée. D’un geste agile, il pivote sur lui-même et plaque ton dos à son torse, sa main sous ta gorge pour garder un certain contrôle sur ta personne. Tu lui servais désormais de bouclier. Son regard s’attarde sur les chasseurs et un rire amer lui échappe. Les désignant de la flèche maculée de son sang :

« - Il faut croire que les pleutres que tu emploies ne sont pas dignes des moyens que tu mets à leur disposition. » crachait-il plus pour lui-même que pour toi. Il sentait la circulation de ton sang contre sa paume, et trouvait cette situation plus délectable encore que la précédente. Il humecte ses lèvres, rapprochant ses lèvres de ton lobe pour y susurrer :

« - Avec moi, la joie devient peine, le bleu devient or et la mort l’emporte sur la vie. Tes efforts sont vains et inutiles. Lorsque tu succomberas, je serai là pour immortaliser ta chute. » Son brin de voix trahissait son sourire. Sa voix rauque semblait résonner dans la pièce avec difficulté. La difficulté rendait l’instant plus magnifique encore qu’il ne l’avait imaginé. Il te laissait l’aumône d’un espoir. Dérober simplement ta vie insipide était indigne de ses capacités. Le monde entier est un théâtre, et il avait justement le rôle du siècle à te proposer.

Il lance la flèche avec force, cette dernière se loge entre les deux yeux du chasseur qui avait osé lui porter affront. Le cadavre du défunt s'écroule au sol dans un rebond répugnant. Son sang commençant à se répandre sur le carrelage blanc. Ses ambres dévisagent la foule éberluée, les veines noires saillantes contrastant progressivement avec la lueur qui inondait la pièce.

« - Je peux faire ça toute la journée. » articula-t-il du bout des lèvres. La chaleur inondant ses membres, ses muscles se raidissant sous les effluves bien connues de l'aconit et de la verveine. Il ne perdait en rien son cynisme et son air suffisant. Asseyant sa domination sur les quelques pions que tu venais de mettre en jeu. Tout n'était qu'une question de temps. Et dieu sait qu'il en possédait bien plus que toi.

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Klaus ft. @Electra Nietzstra

Ton sourire ne suffit pas à inspirer à tes membres le courage dont tu avais besoin. Il pouvait sentir au travers de sa paume, la douce symphonie de tes battements de cœur. La mélodie était lente, comme une mélopée dont les notes reproduisaient, tous les dix temps, un passé sanglant. Moteur de tes armes, moteur de ta haine, le carburant d’une arme que tu pointes vers lui et qui contribuera à ta perte. Son sourire porte l’écho du tien dans un fin cynisme. La douleur transcende le muscle de son bras et il te relâche tout en grognant sous le tiraillement presque bénin de l’acier mordant sa chair. Il relève son regard inhumain vers ses assaillants, un feulement sauvage accompagne les veines noires qu'il arbore avec tant de bestialité. C'est dans un élan de fureur qu'il attrape l’une des tables, laissant le contenu se déverser sur le sol, les coupes se brisant pour s’éparpiller en quelques bribes similaires à ce que constituait ta misérable existence et ce qu'allait être toutes tes entreprises à venir.

Il lance la table au travers de la pièce et bloque ainsi l’issue. Les humains ne peuvent plus fuir, malgré les quelques heureux et chanceux qui étaient parvenus à recouvrer le sol ensoleillé de la charmante bourgade condamnée. Il attrape d’un geste habile de la main la nuque d’un des chasseurs et le rapproche vitesse vampirique. Il ne lui fallut que quelques secondes pour y planter ses crocs assérés et lui arracher la trachée, laissant son sang maculer les cavités de sa gorge et peindre ses lèvres d’un carmin presque délectable. Il redresse son visage et crache le bout de chair qu'il venait d'acquérir avec tant de violence. Il repousse le corps sans vie du défunt et arrache la flèche de son avant-bras pour la planter dans la main de son autre assaillant. Ce dernier, hurlant de douleur ne peut éviter le coup porter sous son menton qui lui décroche violemment les cervicales. Le regard ambre de Klaus n’était plus le seul artifice qui reflétait sa nature monstrueuse. Son sourire laissait entrapercevoir le sang de ses victimes, et celui de celles à venir. Sa respiration, ses feulements et grognements n'avaient plus rien d'humain. Il laissait libre court à sa rage et à ses instincts les plus meurtriers. Il passe de chasseur en chasseur pour les tuer, arrachant le cœur de l’un, la tête de l’autre. Son corps marqué par le vestige de leur existence, maculé de leur sang. Il ne prête pas attention à sa dégaine, arrivé au dernier… Il attrape sa gorge et lui arrache la pomme d’Adam avec sa main, qu’il garde entre ses doigts, son regard croise le tien… Il tourne très légèrement sa tête vers les humains restant :

« - Vous pensiez pouvoir échapper à votre destin en confiant votre vie à ces vermines ? » Il hausse les sourcils et se met à rire avec sarcasme. Il écarte soudainement ses bras d’un geste théâtral la baie vitrée lui conférant un halo lumineux pour soutenir sa tirade... il clame d’une voix rauque et essoufflée par l’effort :

« - Regardez ce qu’ils ont créé. Des vampires diurnes capable de vous tromper et de vous anéantir où que vous soyez. Et cela… vous le devez… » Il sourire grandement, le sang autour de ses lèvres sèche et pourtant, il en sentait encore les effluves. Il te désigne de son index et susurre d’une voix presque mielleuse tout en plongeant son regard dans le tien. « - A ce genre de personne. Ils ne sont pas de votre côté. Indignez-vous face au terrible affront qu’ils vous font… Ils se servent de vous. » Il passe très lentement sa langue sur le bout de ses lèvres, donnant l’illusion de se repaître des quelques résidus de sang séché. Il lève soudainement sa tête et se rend compte que l’alarme sonnait depuis quelques minutes à présent. Que son corps répondait au parfum désagréable de ce terrible cocktail. Il inspire douloureusement et sent la fièvre le gagner, la fatigue l’inonder. Il s’avance alors très lentement vers toi, puisant dans ses dernières forces. Il s’arrête face à toi et relève sa main avec lenteur, il passe son index et son majeur sur le bout de tes lèvres qu’il caresse tout en les peignant du sang de ses précédentes victimes.

« - Prosterne-toi sur leur dépouille, car l’ère de ton déclin vient de débuter… petite éphémère… » Il attrape ta main et la serre dans la sienne, te transmettant la pomme d’Adam de sa dernière victime avant de s’écrouler face à toi, dans un rire presque ironique. Il venait de s'assurer qu'aucun soutien ne serait plus jamais apporté à vos recherches. Tu agissais peut-être seule, mais s'il montait les hommes les uns contre les autres et parvenait à instiller dans les esprits, la méfiance... Il gagnait obligatoirement cette guerre. Les vampires, les chasseurs et maintenant les humains. Quel soutien allais-tu encore pouvoir obtenir si toutes les communautés vous reniaient et s'avéraient être une menace? S'il ne t'avait pas physiquement, il t'aurait à l'usure.