Ce soir-là nous ma boîte donne un défilé à l’hôtel dans le quartier nord par mon quartier le plus favori mais je n’avais pas le choix, c’était le boulot, le défiler se passe à merveille sur le podium les futurs clients avaient l’air d’être ravis, nous passons une dernière fois sous les applaudissements avec le créateur.

Il s’ensuivie d’une petite fête, les prix, les achats, les réservations défilèrent aussi, les discussions vont de bon train, depuis le départ et l’arrivée sur le podium j’avais senti un regard perçant sur moi qui me donnait des frissons, ce regard je le capte, un homme d’un brun et d’un regard à donner froid dans le dos.

Je n’y prête pas attention et pourtant je le regarde régulièrement lâchant un sourire, il me paraissait froid et pourtant son regard n’arrêtait pas de m’attirer jusqu’à qu’une amie vienne me présenter des amis à elle mais aussi des futurs acheteurs et certainement un employeur de plus qui négociait déjà pour un futur défiler, je ne disais pas non à l’argent.

Je jetais toujours un regard sur lui, j’avais l’impression qu’il ne me quittait pas des yeux, hélas je n’ai plus mon côté vampire mais il me semble que lui, j’ai des doutes, je reste discrète sur mon ancien état jusqu’à ce que l’on trouve un remède, pourriture d’humain, aujourd’hui me dois être comme eux.

Fin de soirée enfin, fini, les courbettes, les faux-semblants, je pouvais être de nouveau moi, me rhabillant comme madame tout le monde, à la sortie de l’hôtel, les filles vont terminer la soirée en boîte où je ne sais où, je n’avais pas envie faisant la bise et rentrer surtout chez moi.

Je prends le chemin habituel hélas ce sont des petites rues dans ce quartier, je ne me sens pas à l’abri d’une attaque quelconque, je presse le pas comme-ci que l’on me poursuivait, mes talons s’abattent pressement sur les pavés, je regarde plusieurs fois derrière moi il n’y a personne, cela doit être mon imagination.

Au détour d’une rue, j’aperçois une ombre au loin, cela doit être une personne qui se promène mais à cette heure ? Je continue à avancer la silhouette, se dessine sous mes yeux, je crois rêver, c’est l’homme qui était là durant toute la soirée, posté devant moi, il n’avait pas l’air d’avoir envie de bouger, je l’ai évité tout au long de la soirée mais là je n’ai visiblement pas le choix.

Bonsoir, nous nous sommes croisés du regard à l’hôtel, vous vouliez me dire quelque chose ? Au point de me suivre jusque-là.

Un ton sûr de moi avec un peu de politesse, sans montrer ma peur d’un homme qui vous suis ainsi, un sourire très léger, j’attendais voir ce qu’il voulait, en tout cas ke faite d’être suivie n’était pas qu’un ressentit, cela devait être lui.
Sa stature, son apparence, ses yeux me glacent sur place, j’espère qu’il ne va pas me tuer au coin de cette rue, je ne sais pas ce qu’il me veut depuis le défiler je vais en avoir le cœur net dès à présent, il ne veut être rien de mal peut être un de ceux qui n’osent pas nous approcher pour demander parfois un rendez-vous parfois un autographe bien que je n’étais pas connu, je débutais totalement.

Je fus invité à une soirée, enfin à un défilé, pour parler affaire et même si je ne suis pas fan de ce genre de soirée, les affaires sont les affaires. Je regarde donc le défiler sans grand intérêt avant de voir une jeune femme sur le podium qui est plutôt à mon goût que ce soit en termes de physique et au niveau des saveurs. Je l’observe et la regarde comme un lion observe sa proie et ne la lâche pas des yeux et nos regards finissent par se croiser, mais je ne la lâche pas du regard tous le long du défilé. Je l’observe en silence prenant mon temps imaginant divers scénario et observe qu’elle ne peut s’empêcher de me regarder de temps en temps, pour vérifier que je suis toujours là, ou vérifié ma position, un instinct de survie, vérifié ou se trouve le prédateur en le regardant et pouvoir agir en conséquence avant qu’une personne vienne la soustraire et la fasse disparaître de ma vu enfin quelque instant avant de quitté la soirée peut après elle prétextant une fatigue.

Je suis ma proie qui s’engage dans des ruelles sombres et étroite, ce n’est pas très malin surtout en cette soirée et à cette heure-ci, avec tous ses vampires qui rode une attaque et si vite arrivé et une mort si rapide. Je la suis et son instinct semble prendre le dessus ce qui m’amuse je l’avoue, elle se retourne et se presse, les bruits de ses talons accélèrent, elle ne court pas, mais n’en ai pas loin, je peux sentir le stresse et la peur la gagnée, ce qui me fait sourire, je ne connais rien de mieux que de sentir une proie se sentir prise au piège. Mais, ce petit jeu commence à m’ennuyer, j’utilise donc ma vitesse et des rues dissimulé par les ténèbres pour me retrouver devant la jeune femme en l’attendant patiemment avant de la voir, je suis faiblement éclairé et seule ma silhouette et visible, plus elle s’approche et plus elle peut me voir, avant de m’adresser la parole comme pour se rassurer, je souris légèrement amusé par sa remarque avant de dire calment.

- Ce n’est pas très prudent de prendre ce genre ruelle, si tard le soir surtout avec tous ses vampires qui traînes les nuits, un meurtre et si vite arrivée. Il paraît que jack l’éventreur tué ses victimes dans ce genre de ruelle à Whitechapel. Je m’assure que vous rentriez sans soucis et en un seul morceau, ce serait dommage d’abîmer un telle corps vous n’êtes pas d’accord ?

Je souris tous en la regardant, un sourire qui n’annonce rien de bon pour elle en tous cas pour elle. Parce que pour moi, si tous ce passe comme je le souhaite, mes crocs finiront dans son joli petit coup et avec de la chance peut-être que je ne la viderais pas de son sang.

Une fête, une soirée, un défilé, des invités de toute société, des rencontres pour ma future carrière, pour une fois elle n’était pas pour rien cette soirée, je restais rarement mais là en plus ce regard intrigant, qui m’attire, une telle attirance ne peut que devenir d’un vampire, je regrette de ne plus en être une hélas, je peux tout aussi me tromper, il est si noir, si profond, j’essaye de ne pas y faire attention mais impossible je reviens souvent vers lui plonger dedans, j’étais comme glacée.

Je devais partir mais pour aller chez moi, il fallait traverser les ruelles de ce quartier mal famé, c’était avant je n’avais pas peur mais maintenant, une angoisse à chaque fois, un mal-être et là encore plus, je le sentais, je ne savais pas quoi ni qui, juste une impression qui n’appartenait qu’à moi, j’étais seule dans ses rues, il n’y avait personne, mon imagination mal placée, je continuais en accélérant le pas.

Sa silhouette c’était lui, j’en suis sur m’avait-il suivi ? C’était impossible sauf si, que me veut-il ? Je ne montrais aucune peur, il était peut-être trop timide pour venir me voir à l’hôtel attendait-il que je sois seule pour me parler, cela est déjà arrivé mais à la sortie pas à quelques ruelles, surtout qu’à deux pas j’étais rentrée chez moi.

En effet mais je n’habite pas très loin, je passe par là assez souvent, il suffit que vous soyez là pour que j’ai une peur au ventre. Belle référence mais je ne suis pas ce genre de fille mais un mannequin à moins que vous pensiez le remplacer et tuer des mannequins à la place .

Je jouais avec les mots mais je ne menais pas large de ce qu’il me raconte, était-il un tueur ? Plaisantait-il ? Si c’était un vampire pensé il a me laisser choir là .Lavait-il connu ? Un frisson me traversa.

Je vous remercie de cette intention, si j’avais un garde du corps, j’aurais moins peur mais je débute alors ce genre de personne je n’y ai pas le droit pas assez connu pour cela, même s’il me reste quelques pas vous pourriez m’accompagner, cela serait plus prudent.

S’il était invité parmi toutes ces personnes il ne devait pas être n’importe qui, je prends une certaine confiance comme tout humain, un vampire ne ferait pas cela c’est sûr mais rien ne doit laisser croire que je suis anciennement un vampire.

Manque de politesse Marya Sullivan et vous ?

Je l’invitais à mes côtés à continuer ma route jusque chez moi, devrais-je l'inviter à boire un café ? Oui sauf si c’est ce que je pense si je l’invite c’est foutu, il pourrait revenir sans que j’aie une protection, un choix qui me bouleverse quelque peu, je verrais bien au moment venue, je ne suis pas sûr de ce que je fais mais il a gardé un œil sur moi toute la soirée et puis mince j’ai le droit de m’amuser pour une soirée, me détendre, il y a si longtemps que je n’ai pas eu d’homme et quel homme que j’ai à mes côtés...

.Son sourire et son amusement me font des frissons car je ne m’amuse pas, je devais rentrer chez moi mais les ruelles étaient si petites je n’avais pas le choix. Un accompagnement d’un homme charmant ne pourrait que me rassurer donc pourquoi pas.

Juste un petit peu, vous pouvez très bien être le nouvel éventreur, qui sait ? Je vous remercie du compliment mais pas le choix des rues pour rentrer.

Un gentleman comme je n’avais jamais vu, cela existe encore . Son baiser fait mouche, je rougis, devrais-je vraiment me méfier de lui je me demande . Si j’avais encore mes pouvoirs cela serait plus simple pour ma vie.

Enchantée Anton.

Il m’accompagne jusque chez moi, nous discutons de tous et de rien durant le chemin, je me savais en sécurité près de lui, j’étais comme charmer par Anton, Anton comment ? Peu d’importance, je lui souris plusieurs fois, il n’était pas comme les autres lourds, dragueur non pas lui ce qui m’étonne.

Oui en effet j’habite là.

Une hésitation à l’inviter après tout il a été mon ange gardien cette nuit, je ne pouvais pas le laisser partir ainsi sans boire un café, du champagne, je ne sais pas mais je ne pouvais pas le laisser partir c’est sûr.

Ne partez pas comme ça, je vous invite à boire un petit quelque chose pour vous remercier de m’avoir accompagné .

Je lui souris et commence à ouvrir la porte, j’espérais qu’il accepte mon invitation, pas dans mon habitude d’invité comme ça, sans méfiance que je le fais pour une fois il faut bien briser les tabous, les limites, il a été si charmant que je ne pouvais faire autrement.

Je vous en prie d'entrer.

La porte ouverte, je l’invite, je dépose mes affaires à l’entrer, soulagée d’être chez moi.

Je l’écoute me dire que je suis peut-être le nouvel Jack L’éventreur. Si elle savait qu’elle n’était pas si loin de la vérité. Elle me remercie du compliment, m’informant qu’elle n’a pas le choix malheureusement. Je n’en doute pas et c’est une chance pour moi, mais je ne laisse rien transparaître. Je lui retourne les politesses et discute avec elle de banalité tous le long du trajet. C’est ennuyeux, mais nécessaire. Dire que fut un temps nous n’avions pas besoin de nous cacher pour nous nourrir. Une fois arrivé chez elle, je prends congé pour partir. Mais, celle-ci me propose de rester et de boire un verre pour me remercier de l’avoir accompagné. Elle commence à ouvrir la porte et je dis tous en souriant.

- Je ne dis pas non pour boire un petit quelque chose avant de rentré chez moi.

Je la regarde si elle avait la moindre idée que je compte bien boire quelque chose, mais pas de l’alcool ou du café, mais c’est son sang qui va me servir de boisson. Celle-ci m’invite ouvertement à entrer, je la laisse entrer et poser ses affaires dans l’entré avant de rentrer à mon tour et de fermer la porte à clé. Inutile de porte ce masque idiot plus longtemps. Non, j’ai envie de jouer avec elle, avant de me nourrir de son sang. Je ne sais pas encore si, je vais la tuée ou non on verra bien. Je la regarde souriant, un sourire plus sombre, plus sadique. Un visage plus froid, un regard de prédateur.

- Ce n’est pas très malin, tu aurais dû attendre de voir si j’entre au lieu de m’inviter directement à entrer. Mais, ça m’arrange, ce sera beaucoup plus drôle comme ça. Tu ne trouves pas ?

Je me doute que la réponse et non. Je m’approche d’elle gardant mon sourire sadique sur les lèvres, j’espère qu’elle va fuir, sinon ce n’est vraiment pas drôle et puis j’ai envie de l’entendre me supplier. Avant de planter mes crocs dans sa gorge et de savourer son sang.

Je blague sur le fait de Jack l’éventreur, j’étais bien un ancien vampire, je restais tranquillement à ma place jusqu'à ce que je puisse retrouver mes facultés ne faisant rien paraître, je savais que d’autres existaient encore mais je finis par ne plus me méfier sinon je ne vivrais plus à toujours être sur mes gardes.

Nous marchons droit chez moi, jusqu’à l’inviter pour un café, non méfiante de qui il était, il m’avait l’air d’être sincère tout ce qui comptait pour moi, un gentleman se faisait invité, je ne pouvais pas le laisser à la porte.

Très bien, venez donc.

Lâchant mes affaires direction la cuisine pour un café, pour moi cela sera un thé, j’entendis la porte se fermer à clef, je me retourne fronçant les sourcils mais pour quoi fermer à clef . Venais-je de me mettre en danger, je n’avais plus ma force pour me défendre, je viens de faire une connerie je crois.

Non je ne trouve pas vampire.

M’éloignant de lui, je ne pouvais pas fuir, il était entre moi et la porte, courant dans la cuisine chercher un couteau tout ce que je pouvais faire pour me défendre, essoufflée paniquée par la situation coller au mur je l’attendais de pied ferme.

Je n’étais plus étonnée de ce qu’il faisait dans le coin, je ne pouvais pas deviner qui il était, je suis devenue une proie facile, avec mon petit couteau, je savais que je ne pouvais pas faire grand-chose.

Stop toi, j’étais comme toi avant.

Dis-je pour me sauver la peau, peut-être ne voudra-t-il pas me tuer au contraire, j’étais comme lui avant ce maudit virus, ma respiration s’accélérant.

Que me veux-tu ? Mon sang il doit être pourri par ce virus.

J’essaye à tout prix de le dissuader, après j’essayerai le chantage, caché dans ma cuisine, je savais qu’il allait vite me retrouver, dommage un aussi beau gentleman être un vampire, qui attend de piéger les demoiselles, je suis vraiment stupide parfois de faire rentrer les gens comme ça, je devrais être plus méfiante la prochaine fois, s’il y en a une.

La jeune femme me répond que ce n’est pas plus amusant avant de partir en courant, ce qui me fait soupirer pourquoi, les humains se mettent toujours à courir alors qu’ils n’ont aucune chance, mais ils courent toujours. Je marche tranquillement avant de l’entendre dire quelle été comme moi avant. Je marche en suivant le son de sa voix prenant mon temps comme un prédateur qui sait que sa proie est déjà dans son piège. J’avais entendu parler d’un virus qui rendait certain vampire humain. Cela à causer une vague de panique chez les vampires. Elle me demande ce que je veux avant de me dire que son sang et pourri. Ce qui me fait sourire et échapper un petit rire avant de dire en arrivant dans la cuisine.

– Les vampires sont le haut de la chaîne alimentaire et les humains sont inférieurs et ce virus n’est pas une malédiction, mais une bénédiction. Les vampires manquaient de bétails et il élimine les vampires les plus faibles. Si ce que tu dis et vrai alors ton rôle et de servir de nourriture au être supérieur tu devrais te laisser faire et me remercier de me nourrir sur toi.

Je regarde autour de moi et remarque qu’il manque un couteau sur le rangement des couteaux. Je souris l’imaginant serrant son pauvre petit couteau, espérant que ça peut la sauvée. J’avance tranquillement, elle sait qu’elle n’a aucune chance, mais elle espère pouvoir survivre. Elle n’a jamais rencontré de vampire comme moi.

J’espère que tu vas rester planquer gentiment dans ta cachette que je puisse te sortir de force et pouvoir m’amuser avec toi. Ça fait longtemps que je n’ai pas chassé et je dois avouer que ça me manque, mais grâce à toi, je vais pouvoir laisser sortir mes envies.

J’étais partis en courant, ne pouvant me cacher bien loin, dans ma cuisine avec le couteau à la main, je ne pouvais faire grand-chose de toute façon je le savais très bien, que pouvais je faire d’autre pour me défendre . Je sentais mon cœur battre la chamade, j’avais peur pour la première fois de ma vie, pourtant j’étais si sanguinaire, j’essayais de l’en dissuader, j’étais comme lui avant ce maudit virus, j’espérais qu’il se stop et arrête de suite sa chasse.

Je le sais mieux que personne, je ne suis pas une humaine, je ne me considère pas comme, j’attends simplement dans l’ombre, je n’étais pas faible, je suis tombée dans un de leurs pièges crois-tu que cela m’amuse. Jamais je ne me laisserais faire.

Je le savais arriver dans la cuisine, de toute façon presque nez à nez avec lui, jamais je ne le remercierais de le nourrir, si j’avais encore mon don, je me reculais doucement, je ne pouvais plus échapper il était juste devant la porte, je ne pouvais que suivre le mur, dans le noir, mais rien n'y ferait je ne pourrais pas y échapper.

Cela t’amuse vraiment, tu ne t’amuseras pas longtemps avec moi je t’assure.

Je trouve le moyen de m’accroupir, derrière un de mes meubles mais plus que je parle plus il va s’orienter avec ma voix, je garde le couteau devant moi, j’attendais qu’il s’approche pour soi, soit lui enfoncer mon couteau le temps pour moi de trouver une autre solution, dans tous les cas, j’étais mal barré.

Je suis tombée sur un chasseur, je savais que je jouais à son jeu, il aimait ça, mais avais-je le choix ? Je devrais peut-être sortir de ma cachette et faire face . Je ne savais pas trop, je tenais à la vie, mais plus je me cachais plus ma vie s’écoulait.

Je fais comme je peux pour le contourner, sortant de ma cachette pour lui planter le couteau.

Tu veux me trouver me voilà

Lui plantant mon couteau dans le dos, je ne fuyais plus cela ne servirait à rien, bien plus que mon couteau de toute manière mais bonne, au moins j’essaye de me défendre.

Chasser cela m’a tellement manqué depuis cette foutue loi, on est obligé de se restreindre. J’ai dû faire appel à une humaine pour me nourrir et ça ne me plaît pas, je préfère trouver ma propre nourriture et joué avec celle-ci. J’aime voir la peur s’installer dans leurs yeux et me supplier de les épargnées. Je l’écoute me dire qu’elle n’est pas faible qu’elle sait faite piéger et qu’elle ne se considère pas comme humaine ce qui me fait rire.

- C’est la définition même de la faiblesse, tu t’es faite piégé par des créatures inférieures et tu mérites amplement ton châtiment ! Et tu peux me faire confiance, tu vas avoir mal très mal.

Je garde mon sourire sadique sur les lèvres, je pourrais allumer la lumière, mais ce serait moins drôle, je la laisse éteinte tous en l’écoutant me dire que si je m’amuse, je ne m’amuserais pas longtemps avec elle. Si seulement, elle savait que ce qui m’amuse, c’est qu’elle résiste qu’elle ce débat pour essayer de survivre, mais plus elle se débat et plus sa mort approche. Je m’approche avant de l’entendre dans mon dos et me plante son couteau dans le dos, je me retourne et la choppe a la gorge retirant le couteau et le jetant.

- Sérieusement, tu pensais vraiment que ça marcherait, ça me déçoit, mais ça m’arrange que tu fuis plus, je vais pour voir commencer a m’amuser avec toi.

Je la relâche et lui donne un revers de la main pour la faire tomber au sol. Plus j’y réfléchis et plus je me dis que je pourrais en faire mon animal. En faire mon jouet, cette idée me plaît de plus en plus et un sourire encore plus sadique se dessine sur mon visage alors que je la regarde.