Il a fallut que je tombe sur un chasseur, cacher dan mon coin, je l’attendais mais attendre quoi ? Ma fin ? Même si je lui disais que j’étais comme lui, rien en changeait je sentais le monstre approcher progressivement de moi, je ne savais pas quoi faire mon cœur battant la chamade mon couteau à la main, j’attendais de pouvoir me défendre ou fuir.
Ils ne sont pas si inférieur que cela, fait attention à toi aussi, cela peut arriver à n’importe qui. Je ne le mérite pas je voudrais redevenir ce que j’étais hélas je dois rester dans l’ombre pour le moment.
Je reste cachée, sans dire un mot de plus dans le noir de ma cuisine, me lèvre sèches, j’attends le bon moment, c’est doucement que j’arrive à m’extraire de la cuisine en lui plantant mon couteau dans le dos, je n’ai pas eu le temps de fuit ou de faire un geste de plus que ma gorge fut prise de suite.
Lâche moi, mon sang n’est pas bon et tu le sais très bien, va prendre une autre proie, il y en a à la pelle dehors, laisse moi tranquille.
Dis je à moitié étouffée, j’attendais à sa morsure et mourir, je ne pouvais rien faire d’autres même me débattre ne servirais à rien. Un cri de douleur, je tiens ma joue il vient de me frapper, et ila finit par me lâcher, je recule presque apeurée, ce n’était pas dans mon caractère mais je n’avais pas le choix. Je recule du mieux que je peux jusqu'à emboutir mon canapé, dans le noir je voix son ombre, je ne sais ce que je dois faire, me lever et courir vers la porte ? La provoquer ?
Qu’attends-tu vampire ?
Je me lève et me précipite vers la porte de sortie, j’espère fuir mais je savais très bien que cela ne servirais à rien mais je tente du mieux que je peux pour me sortir de ce mauvais pas attrapant la poignée, le temps de tourner le clef, mon souffle rapide à en perdre haleine, j’espèrais sortir encore un tour de clef, aller vite….

J’écoute cette pauvre petite chose se plaindre qu’elle n’est pas faible et me donne des conseils comme si j’en avais quelque chose à faire et que j’allais les écoutés. Je souris écoutant son cœur battre de plus en plus vite. Comme une souris prise au piège et qu’elle sait qu’elle n’a aucune échappatoire face à son prédateur. L’écoutant me dire qu’elle rêve de redevenir ce qu’elle était, mais que c’est impossible et qu’elle doit rester dans l’ombre. Je souris encore plus.

- Bien sûr que si, vous nous êtes inférieur en tous ! Je comprends mieux pourquoi, tu t’es faite avoir. Tu es Faible et tu considères les humains comme tes égales ! Tu mérites ce qu’il t’arrive, s’il y a quelque chose que je déteste plus que les trahisons ce sont les FAIBLES qui se cherche des excuses.

Celle-ci tente de me poignarder, je décide de jouer un peu avec elle. Lui mettant une gifle avant de la relâchée, il n’y a rien de plus jouissif de voir l’espoir quitté, les yeux de sa proie. Je l’écoute me demander ce que j’attends avant de la voir se précipiter vers la porte. Je souris encore plus, je la laisse espérer qu’elle va s’en sortir avant de brisé ses espoirs au néant. Je marche d’un pas lourd pour qu’elle puisse m’entendre arrivé vers elle. J’utilise ma vitesse au moment quand je l’entends tournée la clé et de bloqué la sortie et de lui mettre un nouveau revers de la main et de refermé la porte la regardant dans les yeux mon sourire sadique sur les lèvres.

- Où pensais-tu pouvoir aller ? Tu n’as quand même pas cru pouvoir m’échapper, c’est ridicule. Mais comme je suis très généreux et que tu m’amuses bien, je suis prêt à te laisser la vie sauve contre quelque chose bien entendu.

Je m’accroupis face à elle gardant mon regard et mon sourire. J’ai envie de savoir et de voir, jusqu’où elle est prête à aller pour sauvé sa vie. En général, je tue quand même mes victimes, soit parce qu’ils ne m’ont pas convaincu ou parce qu’il était tellement pitoyable en implorant ma pitié.

- Alors dit moi, qu’es-tu prête à m’offrir pour sauvé ta pathétique et ridicule petite vie ? Jusqu’où es-tu prête à aller pour ne pas finir dévorer par les vers ?

Dans le noir je l’écoute, je savais que j’avais peu de chance, mon cœur bat à toute vitesse, je me tais ne répondant plus, éviter qu’il me trouve, sa voix se rapproche de moi, je le sens comme-ci il était là près de moi, je sais qu’il se moque de ce que je peux lui dire, ce que je peux ressentir. Mon caractère fait que je devrais répondre à ses moqueries, la tentions se fait palpable. Il continue à me dire que je suis faible ce n’est pas le cas, pourvu qu’un jour il est ce maudit virus, il advient proche de moi que je le poignarde, je sais que cela ne sert à rien. Je m’en prends ce qui me fait pousser un cri essayant de fuir vers la porte.
Je suis essoufflée, j’essaye de tourner la clef, je le sens derrière moi, son pas lourd sa vitesse, il me rattrape, de toute façon j’étais bêtement piégée chez moi, je m’en prends une autre je me maintiens la joue, cette fois j’étais poussée contre la porte, je pourrais l’ouvrir mais pour aller ou ? D’autres sont peut être dehors à m’attendre, je le regarde fronce les sourcilles, je retiens une larme, il m’a fait terriblement mal sans se rendre compte de sa force, je finis par m’asseoir.
M’enfuir bien que je sais que je n’irais pas bien loin. Je ne suis pas là pour t’amuser, ni autre chose d’ailleurs, je ne suis pas une bête de foire contrairement à toi et je ne suis pas une faible non plus.
Ce n’était pas une bonne idée que de répondre mais je n’avais que mes mots pour me défendre et rien d’autre, je me prêtais à recevoir encore une baffe, un chasseur et en plus violent, mais s’il voulait me tuer il aurait fait depuis longtemps à moins qu’il ne veuille s’amuser avec sa proie.
Contre quoi ?
Ma réponse n’allait pas tarder, contre quoi ? Que pouvais je échanger contre ma vie ? Du sang ? Je serais prête à tout pour redevenir ce que j’étais mais le moindre de ses soucis, que pouvais je lui donner ? Le regardant dans les yeux, il me fait froid dans le dos.
Tout ce que tu désires mon sang ? Te servir de calice ?
C’était un bon compromis, il n’avait plus besoin de chasser juste à ce servir et je garde ma vie.

Je regarde la jeune femme blonde devant moi, elle me cherche avec ses paroles. Disant qu’elle n’est pas là pour m’amuser et qu’elle n’est pas un monstre comme moi. J’aime qu’elle est du caractère, c’est beaucoup plus intéressant et amusant qu’une personne passive qui supplie. Je m’approche gardant mon sourire carnassier et la regarde lui proposant d’échanger sa vie contre quelque chose et qu’est-ce quelle été prête à offrir contre sa misérable vie. Celle-ci semble réfléchir, je ne sais pas si je vais quand même la tuée, juste pour voir le désarroi dans ses yeux et lui dire que j’ai menti. Celle-ci se propose de me donner son sang sans que j’aie besoin de chasser de devenir mon calice. Ce n’est pas idiot, d’habitude les gens supplient en disant qu’ils me donneront tous ce que je veux, si je les épargne, mais elle, elle a une idée bien précise en tête et j’avoue que cela me plaît bien.

- Je dois avouer que je ne m’attendais pas à ça, je comptais te tuais dans tous les cas mais, ta demande mérite d’être étudié. Mais, dans tous les cas, ce que je te réserve ne risque pas de te plaire.

Je la regarde dans les yeux ayant toujours mon sourire carnassier et je compte bien m’amuser avec elle, mais j’étudie réellement sa demande. Je me redresse tous en la gardant à l’œil. Plus j’y réfléchis et plus l’idée me plaît. Je reviens devant elle et pose ma main sur sa joue tous en disant d’une voix calme avec une touche d’amusement cachant un ton empli de sadisme et un regard qui ne présage rien de bon pour elle.

- Tu m’as convaincu félicitation, tu as la vie sauve enfin tous du moins pour le moment et tant que tu m’amuseras encore et que tu resteras à ta place. À partir de maintenant, tu m’appartiens que ce soit ton sang, ton esprit et ton corps. Je ferais ce dont j’ai envie de toi quand j’en ai envie et comme je le souhaite, tu es mon jouet, ma servante et même mon animal de compagnie, si l’envie m’en prend ! Tu risques de vouloir la mort, chose que je ne t’accorderais pas. Chaque erreur, chaque faute, chaque petit détail qui me déplaît, fera que tu auras automatiquement une punition à la hauteur de ma déception. Tu deviendras parfaite ! Sache un Khalsky ne supporte pas la faiblesse et que la trahison entraîne des choses bien pires que la mort ! Bien maintenant Va te changer et t’arranger, je n’aime pas ta tenue et je veux que tu sois irréprochable, tu as dix minutes pas une de plus ! Tu me rejoindras au salon, c’est clair ?

Je me redresse et vais en direction du salon attendant de voir ce qu’elle va faire soit elle respecte sa parole et dans ce cas elle gardera la vie, soit elle tente de s’enfuir et dans ce cas, je la viderais de son sang après lui avoir fait subir les pires tortures possibles et imaginable.

Je lache des explications pour qu’il essaye de comprendre mais je vois bien qu’il n’a pas l’air de m’écouter et continu sa traque, j’ai peur je dois me l’avouer c’est la première fois que j’ai se ressentis, je ne sais pas ou mette et pourtant j’essaye à tout prix de me sauver. Je sais qu’il entend mon cœur battre la chamade, il doit ressentir ma peur présente. Je continue à l’écouter sans prononcer un mot, il m’agace légèrement dans ces propos mais je ne réponds pas continuant à essayer de me sortir de se mauvais pas.
J’hésite longuement à sa demande mais qu’une chose me passe par la tête, donner mon sang s’il était empoisonné tant mieux pour lui mais je ne voyais pas autre chose à lui donner en échange de toute manière, juste qu’il me fiche la paix.
Je n’en doute pas.
Dis je entre les dents, qu’est ce qu’il me réserve ? Je me demande, je suis assise là a attendre ses désires, me tenant la joue, deux volées suite suite, je retiens mes larmes, il n’a pas senti sa force, il non seulement chasseur mais en plus brutal.
[color=#BC8F8F] Ne compte pas sur un remerciement. Rester à ma place ? Je ne suis pas un animal de compagnie, il n’y a pas d’accord c’était juste mon sang et rien d’autre. Une punition ? Faut il que je sache ce que tu désires ?
J’étais interloquée par son discourt, je ne savais plus ou me mettre ni quoi dire, ni ce qu’il avait derrière la tête, il me parle encore de faiblesse, je sers les poings, je ne suis pas faible, s’il m’avait connu vampire.
[b] Par ce que tu crois que je vais t’obéir comme ça ?
Restant là, je prenais certainement un risque mais je ne comptais pas aller me changer, ma tenue était correcte pour une soirée, que voulait il que je change me mettre à nue ? Puis quoi encore ? Je le regarde ces yeux noirs m’obsède de plus en plus, je ne lâche plus du regard, il ne plaisante pas et pourtant je n’avais pas envie d’obéir mais ces yeux j’étais comme hypnotisée cela venait de moi et pas de lui.
Que désires tu que je me mette ?
Je finissais par lui demander cela serait plus simple, les dix minutes s’écoulent vite mais autant lui faire plaisir autant lui demander.

J’écoute la jeune femme gardant mon sourire me disant que l’accord ne concerne que son sang. Ce qui m’amuse encore plus, elle pense pouvoir négocier. Elle n’a pas compris sa position ni qu’elle n’était pas en position de demander quoique ce soit . Celle-ci me demande si je crois qu’elle va m’obéir comme ça, ce qui me fait lâcher un rire qui n’annonce rien de bon pour elle.

- Je crois que tu n’as pas position, ni dans quelle situation, tu te trouves ! T’a vie ne tiens qu’à un fil ! Alors si je décide que tu seras mon animal de compagnie, alors tu le seras ! Sinon, je peux me nourrir et te briser la nuque aussi facilement qu’on brise une brindille. Je décide, tu obéis et tu gardes ta petite tête blonde sur tes épaules.

Celle-ci ne bouge pas et me défie du regard, dire qu’il n’y a pas si longtemps, je n’aurais eu qu’à l’hypnotiser, mais je n’ai plus cette faculté. Mais, peu importe, je ne compte pas baisser les yeux et elle sera puni pour son insolence, elle apprendra bien assez vite où est sa place et à ne pas discuter mes ordres. Celle-ci me demande ce que je souhaite qu’elle mette.

- Qu’elle que chose de sexy est de blanc et n’oublie pas de faire belle sans autant de maquillage, je n’aime pas ! Je veux que dans ta tenue tu sois pure. Il te reste 6 minutes et trente seconde et chaque seconde de retard te vaudra une punition que tu regretteras en plus de celle pour m’avoir défié et remis en cause ta position !

Je vais sur le canapé et me sers un verre de whisky comme si j’étais chez moi et attend calmement sirotant le verre. Commençant à réfléchir à une punition pour la jeune femme dans tous les cas elle sera punis et une multitude d’idées me vienne en tête tous en observant ma montre et déboutonnant ma veste de costume tous en la gardant sur moi replaçant correctement ma chevalière à mon doigt.

Au lieu de me tuer il préfère m’écouter déjà bien, un bon point, mon coeur bat de plus en plus vite, je refuse à moitié ce qu’il me dit me prenant une baffe, son rire me glace le sang et je suis loin de rire, je refuse de faire quoi que ce soit de ce qu’il me dit et puis quoi encore mais je vis bien que j’étais loin de pouvoir demander quoi que ce soit.
Je préfère rester en vie à vrai dire, non je ne comprends pas tout ni ta démarche mais je n’ai pas le choix, je le vois bien, je le ressens.
Je ne lâche pas du regard et je ne désire pas bouger non plus, assise là à terre, j’avais peur dans le fond mais je ne le montre pas ou du moins j’essaye, malgré tout je me plie à sa demande, je désire vraiment rester en vie et pourquoi pas ne plus le revoir certainement, il ne va pas rester coucher ici, lorgnant sur la porte ma salle issue de secours.
Une punition et puis quoi encore ? En blanc très bien. Fait comme chez toi en attendant de toute manière je ne peux m’enfuir.
Je me lève ne lui tournant pas le dos je vais jusqu'à dans ma chambre, peu importe le temps que je prends, il est totalement fou, j’avais personne à prévenir même envoyé un SMS et puis pour dire quoi . Un vampire est chez moi . Je prendrais des risques et mettrais une personne de plus en danger mais si je pouvais faire échange . Une mauvaise idée un chasseur n’a qu’une proie jusqu’au bout.
Je fouille dans mes affaires du blanc, je trouve un chemisier et une jupe, je me remaquille plus légèrement, je respire un bon coup avant de le rejoindre, je ne sais si le temps est écoulé mais tant pis, j’ai faits ce qu’il m’a demandé et déjà ça, je verrais bien.
Voilà cela te plaît ?
En tournant sur moi-même, je n’avais pas grand-chose en blanc, j’espère que cela lui plaira, j’en ai aucune idée, j’avais le cœur qui battait moins vite, j’étais plutôt calme, j’espérais me contenir jusqu’au bout mais surtout qu’il parte et que je garde la tête sur les épaules

La jeune femme m’affirme qu’elle préfère rester en vie, je peux entendre son cœur battre de plus en plus vite. Son cœur bat vite et pourtant j’ai le sentiment qu’elle n’a pas compris la portée de ses paroles et encore moins du marché qu’elle vient d’accepter. Je sens la peur qui se dégage d’elle et la voit regardé vers la porte comme si c’était encore une option, mais elle l’oublie bien vite mon regard dans le sien et fini par plier comprenant que la fuite n’est plus une option l’avouant à haute voix. Ne prenant pas menace de la punition au sérieux me disant de faire comme chez moi. Je vais sur le canapé et me sers un verre de whisky comme si j’étais chez moi et attend calmement sirotant le verre. Après avoir déboutonné ma veste de costume tous en la gardant sur moi replaçant correctement ma chevalière à mon doigt. Je la vois revenir avec un chemisier blanc et une jupe. Me demandant si cela me convient, je regarde ma montre et la regarde disant, d’un air sérieux.

- Je suppose que tu n’as pas mieux donc je vais me contenter de cela, je n’obtiendrais rien de mieux de toi ce soir de toute façon. Parce contre tu as deux minutes de retard et je te promis quelque chose et je tiens toujours mes promesses et tu vas rapidement l’apprendre à tes dépens.

J’avais fait exprès de préciser “ce soir” pour qu’elle comprenne bien que je ne me contenterais pas que de cette nuit. Je me redresse posant mon verre sur la table basse avant de retirer ma veste et la pose délicatement sur le canapé pour ne pas la froisser, je remonte doucement mes manches une à une, pour qu’elle arrive au-dessus de mes coudes. Je retire ma montre et la pose sur la table basse, pouvant laisser croire que j’ai oublié la jeune femme, mais il n’en est rien. Je repose mon regard sur elle est celui-ci est beaucoup plus dur et sérieux que tous a l’heure mon sourire ayant disparu.

- J’avais prévu de faire l’impasse sur ton impertinence et ton air de défiance de tous à l’heure, mais non seulement, tu n’as pas bien compris où était ta place désormais et en plus de cela tu as deux minutes de retards et je t’ai promis une munition à la hauteur de ton impertinence et de ton retard. Déshabille-toi, je n’aimerais pas tacher tes vêtements blancs, j’ai horreur de ça!

Je commence déjà à avoir une idée un peu plus précise de la punition que je vais lui faire subir, elle va vite apprendre que lorsque je dis quelque chose ce ne sont jamais des paroles en l’air et que lorsque je dis quelque chose, je le fais.

Je préférais rester en vie, je n’étais plus le vampire que j’étais mais bel et bien une petite chose fragile qui n’avait pas le choix sur son destin ce soir, ce soir en tout cas, j’espérais que ce vampire me lâche une bonne fois pour toutes une fois qu’il aura fini son amusement. J’ai peur de ce qu’il peut arriver par la suite, je ne me rends pas compte de la porter de mes propos ni de ce qu’il m’attend si cela ne reste que la mort, je frissonne rien qu’a l’idée. Je lui dis de faire comme chez lui de toute façon il était, là, je vais me préparer comme demander revenant avec ce que j’avais sous la main, il regarde sa montre, je déglutis, son air froid me fait frissonner mais plus que ça va et plus je tombe dans son regard noir.
Non pas mieux pour le moment mais ça n’a pas l’air de vous plaire. Ce soir ? Vous compter revenir . Comment ça j’ai faits au plus vite.
Je comprends sans comprendre je n’ai pas mis tant de temps que ça mais trouver ce qu’il faut dans la penderie m'a mis un certain temps mais tout de même. Puis ce soir, je le crains qu’il ne revienne ce qui me fait frissonner encore plus mais ai-je le choix ? Je lui suis dit que je lui servirais de calice qu’est-ce que j’ai été bête. L’apprendre à me dépend ce qui me fait encore plus peur, je le regarde faire, posant son verre, remontant ces manches, je me recule, je ne sais pas à quoi m’attendre, son regard est froid encore plus que précédemment, je déglutis de plus en plus lentement.
Comment ça ? Je n’ai pas mis autant de temps il doit y avoir une erreur, vous êtes sûr que votre montre est à l’heure . Non je ne comprends rien à votre discourt et je pense que ce petit jeu suffit pour ce soir comme vous l’avez bien dit
Je me recule de plus en plus jusqu'à coincer par le mur, je serre les dents, les poings, je ne sais où il faut aller et pourquoi tout cela, que me veut-il exactement ? Mon cœur bat de plus en plus vite et encore plus quand il me demande de me déshabiller, je fais un signe de la tête que non, mon regard plongeant dans le sien, je ressens comme une hypnose et pourtant ce n’est pas le cas, je ne comprends plus rien moi-même.
Dans un souffle court et rapide que je m’exécute et me déshabille, j’ai comme une certaine confiance qu’il me gardera en vie, c’est dos que je retire un à un mes vêtements, me cachant mes parties intimes avec mes bras me retournant, je n’ose à peine le regarder, rougies par la situation.
Et maintenant ? Vous êtes content . Vous avez vu je peux me rhabiller .
Lançais-je comme ça, sans un mot plus haut que l’autre.

J’écoute Marya me dire que sa tenue ne semble pas me plaire et me demande si je compte revenir et qu’elle a fait au plus vite. Je la regarde, elle n’a pas l’air de comprendre enfin pas totalement, je le vois dans son regard qu’elle commence à réaliser petit à petit la portée de ses mots et ce qu’elle à échangé contre le droit de vivre. Je ne réponds pas et m’approche lentement alors qu’elle recule jusqu’à finir par le mur derrière elle. Elle me disant qu’elle pense aussi que ce petit jeu suffit comme, je l’ai si bien dit. Je dis sans le moindre doute et comme un fouet qui claque.

- Ma montre et parfaitement à l’heure à la micro-seconde prêt, je t’ai laissé dix minutes et tu en avais déjà perdu trois avant de t’exécuter ! Et demandé de te déshabiller et je ne le répéterais pas une troisième fois !

Je vois sa tête me dire que non alors que je me rapproche d’elle son regard dans le mien. Elle se retourne pour retirer ses vêtements dos à moi. Avant de se retourner tous en cachant ses parties intimes ce qui me fait sourire un sourire malsain. Mais, ce n’est pas ça qui va m’arrêter. Je regarde brièvement ses affaires au sol mit n’importe comment. Je reste à quelque pas d’elle tous en la fixant avant de dire :

- Je tE l’ai dit, TU m’appartiens à partir de maintenant, jusqu’à ce que je me lasse de toi ! Maintenant tes vêtements, plie-les correctement, j’ai horreur du désordre ! Tu n’as pas compris, si je t’ai demandé de te déshabiller ce n’est pas pour te observer ton corps! Mais pour pas salir tes vêtements lors de ta punition.

Je la punirais tous les soirs, s’il le faut et la corrigerait autant qu’il le faut jusqu’à ce qu’elle devienne, comme je le souhaite. Mais pour l’instant je dois me concentrer sur sa punition et lui faire comprendre qu’elle est mienne maintenant et que sa vie se résumera à m’obéir et faire mes moindres désirs soir après soir, jusqu’à ce que je me lasse d’elle.