Une seule option la porte, partir au plus vite tout ce que je voulais qu’il me laisse, je fais ce qu’il me demande pour avoir la vie sauve, hélas j’ai donné ma parole de devenir sa calice le temps que je retrouve mes dons, ma tenue n’a pas l’air de lui plaire plus que ça mais bon j’ai fais ce que j’ai pu, tant qu’a l’heure je réplique fortement, je n’étais pas d’accord avec ce qu’il me disait.
Ca ce que vous dites…
Je vis bien son regard qu’il ne rigolait pas, je ne me voyais pas m’exécuter et pourtant le choix n’est pas là, je me déshabille en tournant le dos et couvrant mes attributs, Je n’aimais pas son sourire machiavélique et j’étais loin de rire ou d’avoir le sourire j’avais surtout peur pour ma vie tout ce qui comptais bien que je n’étais pas la plus heureuse dans cette situation.
Je vous appartiendrais tant que j’ai la vie sauve, vous en avez ma parole. Ma punition et pas salir mes vêtements ?
En attendant sa réponse j’attrape mes vêtements, les plis et les rangeant sur le côté, je n’ose plus le regarder tellement j’ai peur et je tremble de tout mon être, au moins je ne serais pas violer ou je ne sais quoi, quoique je ne sais pas à quoi il pense.
Qu’attendez-vous de moi ?
Il fallait que je prenne confiance et attendre ce qu’il désirait, je ne savais pas ou me mettre continuant à couvrir mon corps même s’il m’a dit qu’il n’était pas là pour ça, je me poses encore plus de questions, je n’avais jamais vue de vampire ainsi.

J’écoute Marya me dire que c’est ce que je dis. Elle insinue que je mens et je n’aime pas ça, mais pas ça du tout. Celle-ci me promet qu’elle m’appartiendra tant que sa vie et sauve et ne comprend pas ce que j’entends par la punir et salir ses vêtements. Celle-ci range ses vêtements alors que je n’ai pas dit un mot regardant juste son corps. Marya me demande ce que j’attends d’elle tous en tremblant de tous son corps

- Tu vas vite le savoir Marya. Pour l’instant je veux que tu plaques tes mains au mur et que tu te penches légèrement et que tu ne bouges pas, je ne veux ni t’entendre ni te voir bougé et encore moins que tu décolles tes mains du mur.

Je sais qu’il m’écoute mieux qu’a notre mauvaise rencontre, je me sens comme soulagé bien que je ne sais pas ce qu’il m’attend, j’ai peur et pourtant j’ai une certaine confiance qui s’installe, aller savoir pourquoi alors que je suis dans une mauvaise posture. Je range correctement mes vêtements je sens son regard posé sur moi ce qui me fait frissonner, l’impression d’être une poupée entre ces mains.
Euh…oui…mais…je…très bien.
Je ne savais pas ce qui m’attendais mais je m’exécute à me mettre dans la position demandée, les mains sur le mur, il ne faut rien dire, pas bougé qu’est que cette histoire encore ? Il me réajuste et ces mains sur mon corps mais donne une certaine chaleur comme une boule au ventre, j’apprécie ce contact bien que cela ne soit pas normal.

Plus il donne de coups, plus je ne retiens plus mes cries plus je sens mes fesses rougir et perlés de sang, cette sensation de boire du sang ma manqué et me sentir ainsi voir sadique me manque ce vampire me donne tout ce que je désire dans le fond. Je finis tout de même recroquevillé sur moi-même, je comprends le sens de mes promesses et le sens de ses paroles ce qui me fait encore plus frémir. Je le regarde à peine, je m’excuse d’avoir bougé et lui avoue la vérité sur mes désires.
Maso et tout aussi sadique, je vous assure, mais oui j’aime ça et pourquoi refoulé ces sentiments ? Soyez plus dur plus direct, je vais aimer cela.
Je me repositionne, il me corrige, me faisant écartée mes cuisses, je sens mon désire monter, les coups reprenne mes cris aussi que je ne retiens plus, il ne désirait pas m’entendre mais je n’ai guère le chois, je sens mon sang coulé encore et encore le long de mes cuisses, je soupire profondément pour subir encore plus.
Je le sens contre moi me plaquant contre le mur, ses doigts, son touché ne me laisse pas de glace, je positionne mon cou pour lui laisser la place de me mordre, je sens ces crocs, je respire profondément en fermant les yeux, le baiser du vampire que je n’ai jamais reçu c’est le premier et pourtant sentir ce crocs dans ma chair ne fait que me faire frémir encore plus.
Apprenez-moi, je vous écoute.
Dis je d’une voix douce et calme, je n’avais plus peur au contraire je lui faisais presque entièrement confiance, m’a-t-il hypnotisée ? Je me retourne et le voix s’installer dans le fauteuil, je me demande ce qu’il veut encore, je le regarde interrogative.
Je ne dis rien et je m’exécute à venir à quatre patte proche de lui à ces pieds, je le regarde avec douceur, un sourire au coin, je ne prononce pas un mot j’attends de savoir ce qu’il désire de moi.

Je commence à attire son attention il m’écoute de plus en plus ce qui me fait plaisir, un sourire s’échappe de mes lèvres. Le sang coule et pourtant je ne dis rien ainsi quand je sens ses crocs sur moi, je frissonne, j’ai comme une certaine attirance vers lui comme-ci j’étais hypnotiser mais bien et bel moi et mon cœur qui se retourne contre moi, une boule au ventre et pourtant j’aime ça, je me découvre totalement auprès de lui ce soir, comment je pouvais m’imaginer cela.
Oui, je…bien sûr.
Je le regarde, une gâterie qui aurait pensé ça ? Je ne sais si je vais être capable de lui faire, je ne pensais pas qu’il aurait besoin de sexe, je peux lui donner beaucoup de chose mais ça, je ne sais pas, même si j’étais une croqueuse d’hommes c’était un désire là je ne sais quoi penser. Je me lève pour servir apporter son verre de bourbon, je m’en sers un au passage et pose le verre sur la table basse.
Faire les magasins ? Si je m’attendais à cela, c’est un risque que vous prenez je pourrais m’enfuir vous ne pensez pas ? Je ne sais si je dois dire je suis dans un rêve ou un cauchemar vous soufflez le chaud et le froid, je ne sais quoi penser.

Marya semble surprise par ma requête, mais l’accepte sans rechigner. Je n’avais pas prévu de coucher avec elle, ni même que son corps et âme m’appartienne, mais les choses ont pris une autre tournure et le fait qu’elle aime que je sois violent, y ai pour quelque chose, j’aurais pas besoin de me retenir avec elle. Et c’est appréciable, celle-ci va me chercher un verre de bourbon et s’en sert un sans mon accord. Je la regarde et l’écoute déposant le verre sur la table basse me disant, qu’elle ne sait pas comment réagir, que je lui donne du chaud et du froid et me demande, si je n’ai pas peur qu’elle tente de s’enfuir si on va faire les magasins. Je bois une gorgée de bourbon alors que je la regarde avec un sourire la voyant faire.

J’accepte tout de ses désires par crainte mais aussi par envie dès le premier soir aller comprendre, il m’attire c’est un fait, j’ai envie de lui mon corps qui parle, il soufflé le chaud et le froid ce qui me rend encore plus dingue. Je vais lui chercher son verre et m’en sers un, j’en aurais bien besoin je pense car je suis devenu complètement folle, jamais je n’aurais fais ça enfin pas comme une humaine, je ne me comprends plus, je pourrais tout aussi bien tant qu’il est tranquille de m’en fuir ? Mais cela doit craindre pour me vie certainement, je n’aurais pas trente six chances.