Karina est gentille mais il faut se méfier de l’eau qui dort, elle peut être colérique, tout comme être joueuse et souriante, elle peut paraître froide au premiers abord mais quand on la connaît loin d’être le cas. Avec le temps elle est devenue antisociale, timide. Lors d’une bataille, un électrochoc, elle est devenue sadique, aimant la violence, le sang, l’agressivité. Lui dit on qu’elle est folle peut être mais elle sait bien ce qu’elle fait. Elle rebute tout sentiment, garder son calme tout comme éclater d’un coup.
La famille Khalsky est un clan qui fut créer il y a quelques siècle derrière nous, mon grand père à fondé notre clan avec ma grand-mère, natif de Moscou comme on l’appelle aujourd’hui, mais trop pauvre, trop grande ville, ils ont décidé de migrer dans un endroit plus calme surtout évitant les guerres, les villes se faisaient désertent par les envahisseurs.
J’ai peu d’informations mais ce que j’ai lu dans un vieux grimoire c’est qu’il y avait une histoire de vampires et de sorcières dans notre famille qui était quoi, les pages étaient déchirées, ne lisant que des brides, j’étais dotée d’une intelligence plus que la moyenne je sortais peu du château.
Nous étions un peu près en 1400 à Kirov en Russie, mon père Sergey et ma mère Anna continuèrent à vivre comme leurs parents, à faire endurer le peuple de Kirov, agrandissant la ville, la guerre de territoire faisait rage, les fortifications tenaient bon mais il y avait bien plus que cela, ce que disait le peuple, en esclavage mais protégé par une puissance impossible à décrire.
Vous allez me dire l’histoire c’est bien mais ma famille, j’avais une fratrie Anton, Yakov, Roza puis moi la petite dernière Karina, la famille Khalsky, notre renommée se faisait entendre dans la toundra mais aussi la crainte de ma famille, je ne comprenais pas pourquoi, pas encore, j’étais petite, je ne faisais que m’amuser à taquiner mes frères et sœur des bêtises de petite fille, j’étudiais avec mes précepteurs, en avance pour mon âge, me demander pas ma date de naissance croyez vous que je m’en souvienne ? Cela doit être vers 1411.
Je grandissais sans souciance, de ce qui pouvait arriver à l’extérieur, m’amusant dans la cour, du château, dans les douves, les cachots, je faisais tourner en rond tout ce petit monde m’entourant avec amour et tendresse, je grandis bien vite, trop vite même, voyant mon grand frère partir à son tour à la guerre, j’étais très proche d’Anton que de Yakov ou Roza.
Dans la cour de notre grande demeure, j’avais onze ans quand je pris peur, d’une bestiole que je ne connaissais pas, la brûlant sur place, regardant mes mains, surprise, je cours voir ma mère, en pleurant, qu’elle m’explique un peu l’histoire de notre famille, que j’étais comme elle, qu’il fallait faire attention, que mes frères aussi avaient des secrets ainsi que mon père, sauf ma sœur qui elle est restée humaine, je ne comprenais pas tout malheureusement.
A mon adolescence, j’ai découvert une veille bibliothèque, des livres pleins de poussières, écrits en latin, une langue que je ne comprenais pas, demandant à l’étudier, par curiosité de lire, de la magie, qui était écrite dans les livres, il y avait de tout m’entraînant avec sagesse sans vraiment savoir le bien ou le mal.
Surprise par ma sœur, qui en devient jalouse d’être restée humaine, elle c’était enfui de la demeure, rejoignant un groupe du crépuscule, c’est mon frère Yakov inquiet qui est partie la rechercher, elle était revenue comme transformée, elle ne perdait pas la tête mais elle nous parlait de choses qui pouvaient ressembler à des visions d’avenir.
Le temps passe, je me fais de plus en plus puissante cachant mon secret même à la famille. Je ne supportais plus de rester dans le château, me cachant pour monter dans un des chariots qui partait pour la guerre avec mon père et mon frère Anton, je voulais en faire part, voir l’extérieur, trop curieuse.
Dans le chariot je regardais le massacre, l’étonnement de mon père et mon frère de voir leurs puissances dans ce combat, leurs visages se transformaient, je ne comprenais pas ce qui se déroulait sous mes yeux, on aurait dit des bêtes sauvages à s’entretuer, j’en pleure presque voyant la tragédie en me retournant je perçois des forces de l’ennemi se rapprochant au loin, ma patrie allait être entourée.
Sortant du chariot, je pris la première épée venue, trop lourde pour moi, je fermais les yeux, me concentrant dictant une incantation,
tuetur gladio familiam hostes viderit sanguinem
- traduction:
que cette épée protège ma famille, envoie la mort sur tes ennemis
, le vent se leva, sa tournoyaient autour de moi, ivre de sang, de tueries, de sadismes, je quittais presque mon corps, mes cheveux et me yeux deviennent noirs, je vis la faucheuse elle-même descendre, prenant cette épée pulvérisant notre ennemi, j’avais l’impression que c’était moi qui guidait cette épée détruisant tout sur mon passage.
C’est épuisée, que mon corps me lâche évanouie, j’ai vingt et un ans, ma force dépasse tout entendement, même ma famille, c’est Anton et Yakov qui me prirent et me mettant dans une cabane enfin le peu que je vois étant très fatiguée.
J’entends de loin la voix rassurante d’Anton mon frère proche de moi je souris mais qui me dicte que je suis l’apocalypse, qu’il faut que je dorme, oui il fallait que je me repose sauf que Yakov me lance un sort pour je dorme jusqu’à l’éternité, de ne pas ouvrir la boîte de Pandore.
C’est ainsi que je fus enfermée, endormis, pour l’éternité enfin sans me rendre compte, que je fus réveillée, ressentant une magie forte dans les airs, regardant autour de moi, me rappelant les derniers mots de mes frères.
J’avais comme un gout de sang dans la bouche, j’avais une envie de tout massacrer sur mon passage, j’avais vu la mort elle-même, je l’avais côtoyée ou était ce le diable ? Étais-je vraiment l’apocalypse ? J’essayais de me tirer de là ou j’étais même avec ma magie mais rien ne se produit, je ne comprends plus rien.
Je ressens mes frères et ma sœur qui sont encore en vie comment cela se peut il ? Trop de questions c’est avec difficulté que je m’extirpe de ma cache, regardant autour de moi perdue, le paysage, plus rien ne ressemblait à mon monde.
Je me laisse guider par le pouvoir qui m’appelle, je ne sais ou je me dirige vers une ville nommée Downside, la magie se faisait concentrer mais j’étais totalement perdue, j’ai lu un chiffre 2019 est ce l’année ou nous sommes, je suis au milieu de cette ville, des habitants, perdue mais pas apeurée, on me regarde de travers, j’étais avec des vêtements d’époques, mes pouvoirs ne sont plus, que ce passe t’il ?
Loin de comprendre, que je marche, jusqu’à trouver un abri, essayant de comprendre ce que va t’être ma nouvelle vie, sans magie, pourquoi je me suis réveillée maintenant et pas avant ? Je pressens juste la mort qui n’est jamais loin de moi.
Je suis Karina Khalsky, sorcière sans pouvoir, on me nomme l’apocalypse, j’ai vingt et un ans, nous sommes en 2019, une nouvelle vie s’offre à moi avec la mort qui me poursuit.
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