Cela fait plusieurs jours et même plus d’une semaine que je n’ai pas revu la belle mannequin à qui je n’ai pas donné de nouvelle volontairement. Je m’occupais de mes affaires et de ma petite sœur et puis, il n’y a rien de mieux que de créer le manque pour qu’elle soit encore plus docile, l’impression d’abandon et un sentiment horrible et on est prêt à tous pour ne pas revivre ce sentiment. Et si cela, n’a pas marché et bien, j’aurais juste à la brisée encore petit à petit jusqu’à ce qu’elle s’abandonne et que puisse la remodelée comme je le souhaite. Je prends mon portable est envoi juste un message à marya disant :

#Prépare-toi ! Je veux que tu portes robe blanche sexy et que tu te fasses belle, n’oublie pas les talons. Une fois prête je veux m’attende à genoux dans l’entrée! #

Je lance mon portable sur mon lit, je finis de me préparer prenant mon temps, je compte pas arrivé dans les cinq prochaines minutes, mais je n’ai pas précisé l’heure de mon arrivée ni quand, justement pour voir si elle va attendre bien gentiment ou si elle va se lève et ne pas respecter mes ordres. Je finis d’ajuster ma tenue et me dirige chez Marya, prenant mon temps. J’arrive chez la jeune femme une bonne heure et demie après avoir envoyait le message et je n’ai pas répondu à celle-ci, si elle m’a envoyé des messages, de toute façon, je n’ai pas regardé si j’en avais. Je pose ma main sur la poignée et j’écoute si j’entends le moindre bruit de pas savoir si elle se place ou non ou si elle est dans la position depuis le début ou bien si elle n’est pas là ou présente et n’ayant pas obéis à mon ordre. J’ouvre la porte étant le moment de vérité. Droit et fière comme la dernière fois, ayant un costume impeccable.

Le lendemain de notre rencontre, je croyais à un cauchemar mais non c’était bel et bien la vérité avec la marque sur ma nuque, les bleus sur mon corps. Les premiers ont été facile je pris soin d’aller prendre des habits de blanc comme j’avais appris ne sont ont jamais, j’ai aussi fais des recherches pour déménager mais tout était trop cher. C’est au cours de plusieurs jours que je sors de moins en moins, parfois je me recroqueville, j’essaye de le joindre sans résultat, il me manquait parfois en pleure.
C’est un beau jour ou je reçois un SMS de lui, enfin, l’impression de revivre mais devais je encore craindre pour ma vie ? Du blanc encore, je m’en doutais mais pas que l’attendre dans une certaine position, mon cœur bat, il ne me précise pas quand il arrive ne serait ce qu’une blague ? je m'habille d'une robe courte blanche avec un beau décolleté en dentelle blanc.
J’attends les minutes sont longue, j’ai un certain stress qui me monte, je ne sais si je dois vraiment l’attendre pourtant, j’entends la porte presque au bout d’une  bonne heure, je me positionne comme il me la demandé, en attendant la porte s’ouvrir, je lève mon regard vers lui avec sourire presque de soulagement enfin il est là, je n’ose pas bouger ni même lui adresser la parole, mon regard parle pour moi cela est suffisant.

J’envoie un simple message à Marya la prévenant de mon arrivée et lui donnant mes indications sans lui dire quand j’arrive. Je me dirige vers chez elle conduit par un chauffeur qui se gare un peu avant pour qu’elle entende la voiture se gare. Je me dirige vers la porte en écoutant l’intérieur voir si je l’entends se positionner ou non et j’ouvre la porte. Mon regard se pose sur elle sans plus et je vais dans le salon me posant sur le canapé ouvrant les boutons de ma veste de costumes. Elle était en position et porte une robe blanche et des talons, mais je garde mon air impassible, même si intérieurement je souris avant de dire d’un ton neutre.

- Je suis très déçu de toi Marya, je m’attendais à mieux !! Tu ne m’accueilles pas convenablement et tu attends que je sois à la porte pour obéir à mes ordres…

Je me lève me servir un verre et de retourner dans le canapé la regardant sévèrement, je dois avouer que ce petit jeu m’amuse. Je ne suis pas idiot, je sais qu’elle ne sait et ne pouvait pas savoir comment réagir à mon arrivée puisque je ne lui ai pas dit de le faire, mais j’ai envie de voir sa réaction de voir si elle est déjà brisée et attends que je la remodèle comme je le désire ou s’il faut que je la brise encore en un peu. Mais, je suis sûr et certain qu’elle est sous mon emprise et sous ma coupe, sinon elle ne serait pas là ou du moins pas comme je lui ai demandé.

Il arrive et je me positionne, juste quand il rentre, je ne bouge pas et l’observe, je pensais à un bonjour comment vas-tu ou je ne sais quoi mais même pas déjà c’était pour me réprimer et comment pouvait il le savoir que je n’étais pas en place, mon cœur battant peut être, je rougis je ne sais pas quoi lui dire, ni quoi faire.
- Bonjour, je pensais à une blague, je ne pensais pas que vous alliez réellement venir, puis je ne pouvais rester ainsi j’étais trop stresser à votre arrivée.
Je pose les yeux sur lui, j’étais neutre, je ne laissais rien paraître mais mon corps dicte le contraire et ça il va le sentir qu’au fond je n’étais pas bien de cette situation et surtout qu’il revienne, je pensais être tranquille, je le serais quand j’aurais déménagé cela est sur.
- Que puis je pour vous cette fois ? Que me voulez vous ?
Un petit ton à peine audible, sans un mot plus haut que l’autre, je le vis sévère mais je ne montre aucune colère au contraire j’attends, de ce qu’il a à me dire, je ne sais si comment je suis lui plaît, je ne sais ce qu’il me veut, j’ai peur et à la fois impatiente, il fait comme chez lui c’est quand même le comble allant se chercher à boire, j’attends patiemment, je ne bouge pas, je ne fais que le regarder et écouter attentivement. Pourtant pas l’envie qui me manque que d’aller le rejoindre aller dans ses bras, il m’a manqué.

- Une blague ? Sérieusement, tu penses que je vais gober cette excuse pitoyable ? Je me contre fou que tu sois stressée ou non de mon arrivée quand je donne un ordre tu le fais et si tu dois passer quatre heures à genoux devant cette putain de porte, tu le fais !!

Je sens bien qu’elle pensait être débarrassée de moi, mais elle a oublié qu’elle a échangé sa vie en échange de venir mon calice et donc que je fais ce que bon me semble d’elle. Je vois une gorgée la regardant debout, elle n’a pas bougé et me demande ce qu’elle peut faire pour moi et ce que je lui veux. Je pose mon verre et la regarde d’un œil noir et me relève m’avançant vers elle. Je m’arrête devant elle et lui donne un violent revers de la main et m’accroupis en disant d’un ton glacial

- Je pensais avoir été assez claire avec toi là dernière fois, tu m’appartiens désormais et je fais ce que bon me semble de toi quand bon me semble !! Quand j’arrive tu m’accueilles me sert un verre et viens te mettre à mes pieds en attendant les ordres comme la bonne petite calice que tu es !!

Je m’approche et me dirige vers la porte qui mène a la cave et ouvre celle-ci allume la lumière faisant signe à Marya de me rejoindre descendant les marches après elle. l’entendre et plutôt étroit et confinée, c’est parfait. Je la regarde retirant ma cravate continuant de jouer au chaud et froid avec elle.

- Dire que si tu avais été sage et obéissante, on n’en serait pas là, on serait sortie au restaurant tous les deux et on aurait passé un merveilleux moment. Mais, va falloir que je te corrige et que je passe ma soirée à te punir pour que tu comprennes ou se trouve ta place désormais.

Je lui attache les mains en hauteur à une canalisation qui passe juste au-dessus la forçant à être sur la pointe des pieds si elle n’avait pas mis ses talons avant de sortir mon téléphone et d’annuler la réservation pour deux que j’avais prévue pour ce soir.

C’est la vérité, je ne pensais pas vous revoir….Je euh…je m’excuse, je pensais vraiment à une blague mais ce qui compte c’est que je sois là comme vous me l’avez demandé non ? Je passerais le temps qu’il faudra.
Mon cœur rebattait la chamade décidément, j’étais gênée je ne savais pas quoi faire, ni ou me mettre, je ne suis pas à l’aise, j’ai de nouveau peur, il est tout aussi glacial que la première fois, il ‘avait prévenue pourtant mais je pense tellement à un cauchemar, mon visage se décompose au fur et à mesure de la conversation.
Vous l’avez été très clair, j’apprends comme vous le souhaitiez laissez moi une chance, je ne peux être parfaite à vos yeux. Comment je pourrais le deviner ce que vous vouliez si je ne le sais pas ? Je le serais pour la prochaine fois, je ne savais pas si je devais bouger ou pas…
Je le vois se diriger vers la porte de la cave, oh non pas ça, pas à ce que j’imaginais la dernière fois, je n’espère pas, j’ai encore plus peur et je recule de plus en plus pour échapper a ce que j’imagine.
J’aurais aimé vous accompagner mais ne faite pas ce que je pense, par pitié je ne pouvais savoir ce que vous attendiez de moi, j’apprendrais à être parfaite, s’il vous plaît…Pas un e correction pas encore enfin tout dépend.
Je le rejoins à l’intérieur par envie, par timidité, par peur, un doux mélange ou je ne sais comment me situer il faut dire la dernière fois j’avais aimé ça et il recommence, je rougis à mes pensées, je me mords doucement la lèvre. Il m’attache les mains mais va-t-il me laisser là ? Il est vraiment fou celui la, je pensais à servir de calice pas autre chose. J’étais sur mes talons limite pointe des pieds, je respirais profondément, j’avais peur mais aussi une envie de lui, presque un réconfort qu’il n’est pas changé.

Elle m’avoue qu’elle pensait vraiment à une blague de ma part, pourtant elle sait changer comme demandé et me demande une deuxième chance qu’elle ne peut pas être parfaite du premier coups, qu’elle ne savait pas comment réagir. Que la prochaine fois, ça ne se reproduira pas, et qu’elle aurait aimé venir au restaurant avec moi et qu’elle apprendra à être parfaite. Je retire ma ceinture plus épaisse que la dernière comme si j’avais prévu le cas, ce qui est le cas en effet. Je prévois toujours toutes les éventualités.

- Dans ce cas commence part arrêté tes jérémiades et arrête de négocier tes punitions, j’ai horreur de ça, tu devrais me remercier de perdre mon temps à te corriger pour que tu deviennes parfaite !!

J’essaye de m’excuser au mieux, de ne pas trébucher une nouvelle fois, j’ai fais ce qu’il m’avait demandé mais être à genoux sans savoir s’il venait c’était de trop et je pensais vraiment à une blague, il n’a pas l’air de me croire pourtant c’est la vérité mais je me finis par me taire, ne plus rien dire juste l’écouter sans même broncher.
Très bien, je ne le ferais plus, une bonne soirée aurait été parfaite, j’ai fauté et je comprends la correction merci de votre temps.

Il revient la lumière me fait mal aux yeux, je lui dis ce que j’ai au fond de moi, mon envie de lui, d’être à lui, je ne désire que lui, presque un amour naissant, je deviens complètement folle, sa main sur ma joue me fait du bien, j’appuie son baiser et laisse couler toujours et encore mon sang, je suis presque fière de ce qui advient.
Merci à vous, je le pense c’est sincère. Oui je comprends parfaitement, continuez je vous pris et vous remercie encore.

Que désirez vous ?
Soufflais je d’un ton doux et très respectueux.