Je vais me mettre dans le fauteuil observant Marya sans un mot celle-ci me sert un verre et viens se mettre à mes pieds bien gentiment me disant qu’elle me trouve injuste qu’elle fait tous ce qu’elle peut et qu’elle veut que je la laisse tranquille, mais qu’au fond d’elle, elle ne le souhaite pas et qu’elle tient sa promesse d’être mon calice. Je me penche en avant et prend son visage entre mes mains la regardant dans les yeux en disant le plus sérieusement possible et ayant une voix très stricte et directe.

- Il va falloir que tu fasses un choix et que tu t’y tiennes, je n’aime pas perdre mon temps ! Soit tu décides de m’obéir et d’être à moi, corps et âme soit tu décides ta liberté futile sans but. Mais, il n’y aura pas de retour en arrière et je serais encore plus dur avec toi, si tu décides de m’appartenir.

Je relâche son visage et je bois le verre qu’elle m’a servis sans la regarder, je sais que le choix que je lui propose n’est pas facile, soit elle abandonne tous et devra m’obéir sachant qu’elle aura des moments de révolte qui serra durement punis encore plus dur que ce qu’elle a vécu, soit elle choisi son semblant de liberté et une vie insipide ou je me nourris d’elle quand j’en ai envie sans jamais pouvoir en avoir plus et de profité de ce que je peux lui apporté. Son corps entier doit être pris dans son dilemme entre ses envies et ce qu’elle souhaite. Quoi qu’elle décide sa vie sera changé pour toujours.

Nous sommes rentrés, je ne prononce pas un mot triste de la situation, je le regard, lui sert un verre et m’installe à ces pieds proche de lui, le regardant tristement, je lui dis ce que j’ai sur le coeur, surtout l’injustice que j’ai l’impression de subir.
Faure un chois mais le quel ? Je ne dis rien et l’écoute, je détourne mon regard, je ne sais pas quoi répondre cela me tourmente, être à lui ou juste un calice ? Etre tranquille ou subir encore ? J’ai la curiosité qui me pousse, je me sens presque gênée par la situation et ce choix qui me pèse.
Je n’abonnerais pas, je désire savoir continuer et être à vous.
Dis je à voix basse, timidement comme ci je n’étais pas sur de mon choix, ce qui est le cas, je ne sais pas ou je mets les pieds, rien ne me rassure, je me colle à lui, besoin de soutient et de réconfort.
Je me permets de vous rappeler la punition comme il se doit.
Je rajoutais comme promis à ma parole, de lui rappeler bien que e ne sais pas ce qui m’attends peu importe au moins j’ai tenu ma promesse de lui rappeler.

Je regarde Marya et l’informe qu’elle doit faire un choix être à moi corps et âme ou bien être juste un calice avec un semblant de liberté. Je la vois détournée le regarde tous en réfléchissant à ma proposition. Celle-ci fini par me dire timidement et à voix basse qu’elle souhaite être à moi et qu’elle n’abandonnera pas. Et me rappelle, la punition que je lui avais promis avant de partir. Je me retiens de sourire en disant même si j’ai très bien entendu.

- Parle plus fort Marya, je n’ai rien entendu ! Et regarde-moi quand tu me parles Marya ! Mais au moins tu un minimum de mémoire et n’a pas essayé à échapper à ta punition et c’est une bonne chose, elle ne sera pas moins sévère. Pour la bonne raison que la soirée a été un échec complet, mais tu as tenu ta promesse. Il y a peut-être de l’espoir de faire quelque chose de toi finalement.

Je la regarde réfléchissant à sa punition reprenant une gorgée du verre de whisky poser devant moi. Elle ignore ou elle a mis les pieds et de quoi je suis capable, mais elle l’a choisi de son plein gré et aucun retour en arrière et elle ne pourra pas m’accuser de lui avoir forcé la main elle l’a choisie elle-même de devenir mienne.

- Une fois que j’aurais trouvé la bonne punition, je te l’appliquerais mais pour l’instant je veux plus t’entendre, ni savoir que tu es là.

J’allume la télé et met les infos comme si j’étais chez moi. Je ne dis rien de plus et ne regarde plus Marya me concentrant sur ce que j’ai devant moi, ayant pas besoin de me concentrer sur elle pour savoir ou entendre si elle fait du bruit ou non..

Mon choix est fait je désire être avec lui, être à lui, je l’informe doucement puis le dit un peu plus fort comme il me le demande tout en le regardant, j’étais plongée dans ces yeux comme hypnotisée, ne pouvant plus sortir aucun mot de ma bouche. Je l’informe aussi de ma punition, je n’avais pas oublié, lui faisant un sourire, un signe de la tête que oui, j’ai un peu de mémoire même si la soirée était une catastrophe, je respire de nouveau d’être là prêt de lui.
Je serais me laisser porter par ce qu’il désire, de me laisser guider, de faire plus attention, comme son verre qui n’est pas encore vide, je n’ose pas bouger, je ne fais que le fixer, de l’écouter, de pas dire un mot, un oui de la tête suffit, je le sens réfléchir, je respire profondément.
Il allume la télé, je ne fais toujours qu’un oui de la tête, il ne désire plus savoir que je suis présente, son verre n’est pas vide, je n’ose pas bouger pour le resservir cela ferait du bruit et il ne le désire pas, je me sens presque délaissée, je n’ose rien faire pour ne pas aggraver mon cas, je m’allonge à ces pieds, ne bougeant plus d’un pouce, fermant les yeux tout en restant à l’écoute s’il désire quelque chose.

Marya me répète plus fort qu’elle souhaite être à moi et ne dis plus un mot comme si elle n’avait plus de voix et que ces mots lui avait pris toutes ses forces. Je l’informe que je ne veux plus un bruit et ne plus savoir qu’elle est là. Je regarde la télé avant tous en réfléchissant à une punition et j’ai trouvé comment j’allais la punir. Je me redresse pour me remettre convenablement dans le canapé avant de lui dire d’un ton calme et de manière plutôt neutre. La sortant peut-être de ses pensées ou de son sommeille. Après avoir fini mon verre disant avec un petit sourire quand même

- J’ai trouvé comment te punir de la manière la plus juste qui sois, enfin juste tous dépent de comment on se place, mais avant de te punir, j’ai très envie de te goûter et pas uniquement ton sang.

J’observe sa réaction gardant mon sourire, je ne veux louper aucune réaction de sa part et surtout voir si elle a compris ce que je viens de lui dire et de voir comment elle va agir sachant que dans tous les cas elle va être punie juste après et je suis ravie de la situation surtout vu la situation géopolitique qui nous pourri la vie actuellement.

Je me répète un peu plus fort avant de m’installer à ses pieds, je ne fais plus un bruit plus un mot, je sommeil presque en écoutant la télé, je respecte ce qu’il me dit en me faisant la plus petite possible, plus un bruit ne sort sauf ma respiration que j’essaye de faire lente.
Il me réveille plutôt doucement, en ne me disant rien sur ma punition, machinalement je me lève pour lui resservir un verre, me repositionnant tout en l’écoutant.
De me goûter je suis tout à vous, mon corps, mon âme, mon être.
J’ai compris ce qu’il voulait mais je ne désirais pas prendre les devants, et faire encore un mauvais pas, laissant faire acceptant juste sa demande me mettant debout, nue face à lui.

Je réveille marya, la regardant me servir un verre et de revenir à mes pieds, je l’informe que j’ai trouvé sa punition et que je veux la goûtée et pas uniquement son sang. Celle-ci me dit que son corps, son âme et son être m’appartienne. Je souris, et la regarde nue face à moi. Je lui prends le poignet pour la faire s’asseoir sur les genoux avant de mettre son poignet fasse à moi et de mordre dedans pour boire son sang. Je ne connais rien de meilleurs que de voir du sang frais enfin façon de parler puisqu’il est chaud.

[hide]Je la regarde avec un sourire et la fait s’allonger avant de lui mettre une fessée, jusqu’à ce qu’elle devienne rouge avant de la faire se mettre à genoux devant moi, en disant tous en la regardant dans les yeux.

- Montre-moi, comment tu es douée avec ta bouche maintenant et la fessée, c’était uniquement pour mon petit plaisir personnelle de voir tes fesses devenir rouge.

je prends mon verre et la laisse faire le nécessaire tous en buvant mon verre de bourbon, tous en caressant sa tête comme s’il s’agissait d’un animal de compagnie.[hide]
actuellement.

Je lui sers un verre, je reviens debout face à lui, à genoux, je sens ces crocs dans mon poignets, je sers les dents mais à la fois c’est comme ci j’étais ailleurs, je me sens presque bien comme un poison qui m’envahit de l’intérieur, je me sens bien, je voudrais qu’il continu, j’ai un bourdonnement, je me sens comme désorienté et pourtant cela n’a pas duré tant que ça.